En regardant par la fenêtre
J'y vois des Hommes titubant
Aux regards si triste, une plaie ouverte
Qui les ronge lentement…
C'est la gangrène des rustres du pouvoir…
Car de coups de poignards
Sans fin, leur vie est pleine…
Et cette haine qui brûle d'aveux
Et qui boue dans leur veine
N' attend qu' un déclic bien à eux…
Car pour l'instant il est des larmes,
Autour d'eux il n'est que questions et dénis…
Mais bientôt le jour du combat viendra
Où tous ensemble sans aucun répits
Ils iront lutter le poing à bout de bras…
Ils seront alors tous là, debout et fier,
Marchant sur le chemin de leurs anciens
Des idées neuves pour les lendemains
Ils iront les faucher les maux de l'enfer…
Et dès demain, ils chanteront le monde
Qu'ils vont créer…